19642ème jour

Paris Rome

En début d’après midi, je prends le vol Air France pour Rome où c’est encore l’été. Je me promène aux environs de Santa Maria Maggiore et je fais imprimer la photo de la plaque du musée de la Shoah à Jérusalem ou figure le nom de mon ami Mario.
Un collègue italien me rejoint et nous dînons ensemble à La Matriciana. Ca n’est pas encore la saison de la puntarella mais les porcini en revanche sont vraiment délicieux.

19641ème jour

Amsterdam avec Azouz III ou Le concert de l'Orchestre Mozart, Bernard Haitink et Maria João Pirès à Bruxelles

Comment souvent le dimanche à Amsterdam, on va se balader dans Jordaan. On s’arrête au Amnesia où le serveur est vraiment adorable et nous donne tous les renseignements possibles sur les types d’herbe. Je ne prends qu’une bouffée car je dois conduire jusqu’à Paris mais Azouz fume un gros joint tout seul et il est complètement défoncé. On marche dans les rues. Je tente de lui raconter l’histoire "Pète et Répète sont sur un bateau. Pète tombe à l’eau, qui reste à bord ?" Azouz ne comprend pas tellement il est défoncé et cela me fait rire. On boit un café sur Leidseplein, on passe chez Concerto et on prend la route pour Bruxelles. On dîne de bonne heure aux Armes de Bruxelles. L’idée de base de ce concert c’était d'assister à l'événement initialement prévu avec Claudio Abbado et Martha Argerich dans un concerto de Mozart. Dans un premier temps, le programme a changé avec le Premier Concerto pour piano de Beethoven, celui qu’ils ont déjà joué à Pleyel en avril. C’était tellement beau que j’étais content de renouveler l’expérience. Puis en septembre, Abbado a du annuler pour raison de santé et Martha Argerich ne s’est plus associée au projet. Ce soir, c’est donc Bernard Haitink qui remplace Claudio Abbado pour diriger Maria João Pires qui remplace Martha Argerich dans Beethoven qui remplace Mozart. Ce concert donné dans la grande salle (fort laide) du Palais des Beaux-arts est un peu décevant, routinier, même si Maria João Pirès excelle dans le concerto de Beethoven. Energique Ouverture d’Egmont en bis. Retour à Paris.

19640ème jour

Amsterdam avec Azouz II ou Brahms et Bruckner au Concertgebouw

Je crois bien avoir sucé Azouz au réveil et on a pris la route pour Amsterdam à dix heures. On a roulé décapoté à partir d’Anvers et on est arrivé à Amsterdam juste pour un late lunch au café De Jaaren. Azouz aime immédiatement Amsterdam et connaissant ses penchants, il est évident que l’on va beaucoup fumer. On fume un joint au Dampkring, un coffee shop juste à côté de chez Scotch & Soda. Pré-dîner au Stadsschouwburg, sur Leidseplein et à 20h15, nous sommes au Concertgebouw pour le concert du soir de l’orchestre Philharmonique des Pays-Bas et son chef Marc Albrecht. En, première partie le Concerto pour violon de Brahms par Isabelle Faust. On entend mal la soliste du fait de nos places sur le Podium Nord. En deuxième partie, la Septième Symphonie de Bruckner que j’ai déjà entendue en ce lieu par Mariss Jansons. Ce soir le résultat n’est peut être pas aussi merveilleux mais la fin du deuxième mouvement était vraiment magnifique.
On finit la soirée au Easy Times, un coffee shop où j’étais allé deux ou trois fois avec Ambr*ise, près du Dikker & Thjis et on rentre à l’hôtel en taxi.

19639ème jour

Amsterdam avec Azouz I

Journée épuisante. Retour chez moi à vingt heures. Azouz a la gentillesse de passer chez moi, on dîne chez Franco (qui continue de m’embrasser, c’est gentil), on passe chez moi siffler une bouteille de champagne, on fume, on envisage de partir à Amsterdam, Azouz hésite car il travaille le lendemain et va devoir raconter des bobards, je regarde le programme du Concertgebouw et ceci achève de me convaincre, j’achète deux places et nous nous couchons pour une courte nuit.

19638ème jour

Récital Jan Lisiecki à l’Auditorium du louvre

Je ne suis pas un grand supporter des récitals de midi. Il est difficile pour moi de me libérer pour aller dans le centre de Paris, et difficile aussi de me libérer l’esprit au milieu d’une journée de travail. Je suis cependant heureux d’aller écouter le jeune (il est né sous Chirac, ça fait peur) Jan Lisiecki, dont j’avais tant aimé le disque des deux concertos de Mozart et qui est de passage à Paris pour une heure de piano. Au programme, deux œuvres de Paderewski (Jan est d’origine polonaise), les Etudes de l’opus 10 de Chopin et une Partita de Bach. Beau concert, peut être un peu moins soigné que le disque des Etudes qui vient de sortir chez Deutsche Grammophon.
Le soir, je regarde le film Le Refuge de François Ozon dont je ne connaissais même pas l’existence et qui donne un très beau rôle au chanteur Louis-Ronan Choisy.

19637ème jour

Allard milanais

J’emmène dîner un client milanais chez Allard après l’avoir récupéré au Sofitel Saint Jacques qui est désormais un Marriott. Il est très gentil, mais content de lui et ne parle que de lui. Le dîner me semble interminable et je le raccompagne à son hôtel à minuit.

19636ème jour

Naufrage

Mélodrame avec ma mère au téléphone car je souhaiterais qu’elle aille en Suisse pour procéder à des examens de ses yeux. Elle prétend que c’est ma sœur qui ne veut pas l’emmener, ce qui est évidemment d’une mauvaise foi totale. Je saurai par la suite que dès qu’elle a raccroché, elle a dit à ma sœur qu’elle ne voulait pas y aller.

19635ème jour

Dans trois cent soixante cinq jours...

Déjeuner chez Georges avec des confrères.
Dîner avec l’homme aux lunettes Cartier à Samesa, un très bon restaurant italien de la rue Brey.
Dans trois cent soixante cinq jours, j'aurai 20.000 jours.

19634ème jour

Fièvre

Je me sens fiévreux une bonne partie de la journée. Le soir, mes filles viennent chez moi. On regarde Laura en bluray, l'un de mes films préférés qu'elles n'avaient jamaios vu. On dine au restaurant japonais voisin. Je ris intérieurement car ma plus jeune fille fait de gros efforts pour dissimuler un énorme suçon.

19633ème jour

Pas grand chose

Un tartare aux Verres de Contact, Passion le film de Brian de Palma qui est un remake moyen de Crime d’amour le dernier film d’Alain Corneau, quelques SMS échangés avec Maxime dont c’est l’anniversaire aujourd’hui.

19632ème jour

Milan Paris

Je fais un petit tour dans le centre de Milan, une visite à Ricordi, un peu de mal à trouver un taxi qui accepte d’appliquer forfait pour Malpensa, vol EasyJet de 15h30 pour Roissy, soirée chez moi.

19631ème jour

Paris Milan

Encore une fois Paris Milan au petit matin pour journée de travail à l’issue de laquelle je prends un pot avec mes clients près du Corso Sempione, quartier beaucoup plus sympathique que je ne l’imaginais le soir, dans la portion près de l’Arco della Pace), puis dîner très arrosé à la terrasse de Ribot où les moustiques ont enfin disparu.
A plusieurs reprises, je communique avec un grindrien milanais et blond capté à Venise le mois dernier, mais celui-ci ne me répond jamais.

19630ème jour

Où je retrouve la Sérénade Gran Partita

Sur la route du bureau, vers 8h00, je reçois un message adorable de Fernando qui cherche à m’exciter. Je m’imagine des jours paisibles où je pourrais passer des bras de Fernando à ceux de Nicolas, puis à ceux d’Azouz, sans la pollution des sentiments et avec juste le bonheur de donner et de recevoir du plaisir.
Le soir, je retrouve Vincent à l’Auditorium du Louvre pour un concert d’instruments à vent par des membres de l’Orchestre de Paris. Première partie autour d’œuvres de Richard Strauss, la longue sérénade pour treize instruments à vent, clairement inspirée de la Gran Partita, et la Sonatine, œuvre de jeunesse pour seize instruments à vent.
Mais le morceau de bravoure de cette soirée, c’est bien sûr la Gran Partita, dans sa version avec contrebasse, magnifiquement jouée par les vents de l’Orchestre de Paris sous la direction d’Andris Poga, un jeune chef letton qui est aussi l’assistant de Paavo Järvi à l’Orchestre de Paris.
Comme Vincent veut absolument m’inviter à dîner mais qu’il est fauché, on va au Mc Do de Pyramides.

19629ème jour

Nicolas

Dans la journée, j’apprends le remplacement de Claudio Abbado par Bernard Haitink pour le concert de Bruxelles du 29 septembre. Abbado semble annuler tous ses concerts depuis Lucerne ce qui rend bien sûr tout le monde inquiet pour son état de santé.
Le soir après une courte célébration à l’Hôtel Costes d’un recrutement, je passe chez moi pour rencontrer Nicolas, un garçon qui habite les Hauts de Seine au physique agréable avec ses cheveux longs et sa barbe naissante. On partage des sushis et une bouteille de champagne, on fait un feu de bois, le premier de l’année, et on s’assoit devant. Il casse son verre sur la dalle de marbre du foyer mais je ne lui en veux pas car il accepte volontiers que je lui passe la main dans les cheveux. Il est de plus en plus déshabillé près de moi devant le feu, je découvre des piercings et un improbable tatouage MF en hommage à sa chanteuse préférée. On va dans ma chambre, on s’embrasse, on est nus tous les deux, on prend du poppers, il me jouit dans la bouche, je le ramène chez lui.

19628ème jour

Paris Strasbourg Paris

Aller retour pour Strasbourg en TGV avec un déjeuner agréable au Tire bouchon, près de la cathédrale. De retour chez moi, je découvre dans Diapason qu’il y a prochainement un récital de Jan Lisiecki à l’Auditorium du Louvre et je prends deux places pour ce concert ainsi pour que les récitals de Daniil Trifonov et Joseh Moog et aussi pour une Gran Partita programmée dans deux jours.

19627ème jour

Un dimanche comme un autre

Promenade dominicale à Versailles avec HL et son chien qui laisse une quantité phénoménale de poils dans ma voiture. Déjeuner au Vaudeville. Elysium (le film le plus médiocre de l’année, et dîner chez Ly avec l’une de mes filles.

19626ème jour

Chartres

La route de Paris à Chartres sous un temps maussade.
Fin déjeuner chez les Philippe(s) à qui j’ai le plaisir de leur offrir le Gaulois du dimanche fraichement encadré. Visite passionnante de la Cathédrale. Retour sous une pluie violente. Alex, un grindrien avec qui j’avais parlé il y a quelques semaines, et qui avait disparu, me reparle. Je découvre un peu mieux qui il est et notamment sa carrière qui semble plutôt bien marcher sur le créneau très particulier du mannequin androgyne.
Vu Alceste en bicyclette en bluray.

19625ème jour

Vincent

Je rentre du bureau à midi. Je déjeune au Piccolino avec Vincent, un grindrien du quartier, plutôt sympathique mais gentiment ennuyeux. On va récupérer ensemble le Gaulois du Dimanche maintenant encadré, puis on passe prendre un thé chez moi. Vincent repart et revient. On regarde la première partie de Ben Hur car il en a bizarrement furieusement envie.

19624ème jour

Azouz le retour II

Déjeuner avec mon client organiste chez Cécile, un restaurant (tenu par Cécile, justement) près de la rue Tronchet et à l’ambiance gentiment provinciale avec ses banquettes de skaï rouge.
Le soir, Azouz passe chez moi, on commande des sushis et on fait une dinette japonaise. On parle de Prague où il a passé six mois, de Otto son ami québécois sur les photos duquel j’avais flashé mais qui est hélas retourné à Montréal et est devenu terriblement efféminé. On passe du champagne à la bière ce qui n’est pas une bonne idée. Je lui caresse le bras. On s’embrasse. On passe dans la chambre. Je le suce très longtemps en le doigtant. Il dort chez moi.

19623ème jour

Fernando II

Après un déjeuner avec des clients chez Pierre au Palais Royal (tout à fait recommandable), je dépose mon affiche Siegfried du Gaulois du Dimanche chez un encadreur qui accepte de travailler en un délai record, afin de me permettre de l'offrir le week end qui vient.
Le soir, Fernando passe chez moi pour boire un peu de champagne et fumer. Il est toujours aussi charmant, on parle longtemps ensemble et il me raconte sa vie et son métier plus en détail. Comme la fois précédente, on s’embrasse, on se retrouve nus sur mon lit, sa main enserrant nos deux sexes, le flacon de poppers à portée de main.
Je le ramène chez lui. Comme il aime les lunettes de soleil que j’avais achetées à Bali, je les lui offre.

19622ème jour

Azouz le retour I

Un garçon me parle d’un numéro What’sapp que je ne connais pas, sans vouloir me dire qui il est. Après maintes questions, je comprends qu’il s’agit d’Azouz qui propose de se revoir le soir même. Pour finir il annule et nous reportons à jeudi.
Un type au nom d’Ilies, que je ne connais ni d’Eve ni d’Adam, me parle sur grindr et me demande très directement que je lui prête cinquante euros. Amusant. Après tout il a raison. Il aurait eu une gueule d’ange, j’aurais peut-être accepté.

19621ème jour

L’affaire du poêle de Berne

Journée atroce au travail. Seul éclaircie, j’ai sans doute enfin trouvé une réponse à la question du poêle de Berne : alors que j’avais douze ans, mes parents nous avaient emmenés en famille en Suisse pour quelques jours de vacances au mois d’août dans la région de Saignelégier. C’est à cette occasion que j’avais acheté un petit appareil à cassettes Philips avec lequel j’ai enregistré des centaines d’heures de programmes de France Musique. Le même jour, nous avions déjeuné d’un pot-au-feu, ce qui est étrange pour un mois d’août, mais j’ai un souvenir d’enfant d’un restaurant extraordinaire, très ancien, très traditionnel, avec un poêle en faïence qui trônait au milieu de la salle à manger. J’avais demandé il y a fort longtemps à mon collègue et ami suisse de tenter de retrouver ce restaurant et il semblerait que cela soit ici. Si c’est vrai, tout a changé dans le restaurant, à part le poêle.

19620ème jour

Dimanche Mahler

Une amie d’HLG a quasiment détruit la voiture de ce dernier et nous allons donc au bois de Boulogne conduits par un chauffeur de taxi mahlérien (si, si, ça existe). Déjeuner au menu sans surprise et après-midi passée à mettre à jour ma page sérieuse que j’avais délaissée depuis de nombreux mois.

19619ème jour

Fernando I

Fernando est un garçon mi angolais mi portugais. Je lui parle depuis plusieurs mois sur grindr et notamment cet été alors qu’il était en vacances au Portugal. Ce matin, il me reparle soudain. Il a envie de passer chez moi. Il vient en bus et sur la route m’envoie des photos coquines de lui. Il arrive vers onze heures et je le découvre, très charmant, typé mais pas trop, et surtout avec un beau sourire et des cheveux frisés d’une densité incroyable. Je ne sais plus trop ce qu’on a bu mais on a bu, on a fumé aussi, et on s’est rapidement retrouvé dans ma chambre, nus l’un contre l’autre. J’ai découvert sa position favorite, lui sur le dos, moi accroupi au dessus de lui, et lui tenant nos deux queues dans sa main ou dans ses deux mains. Il fait ça vraiment bien, rajoute régulièrement de la salive pour adoucir le mouvement et fait en sorte que la chose dure le plus longtemps possible. De temps à autres, on sniffe ensemble une fiole de poppers et celui qui ne renifle pas s’occupe des deux bites bien raides. On jouit tellement fort sur son tee-shirt que je lui en prête un autre quand il part de chez moi.
En fin de matinée, j’achète le coffret Karajan 70s qui me rappelle de nombreux 33 tours achetés à Clermont-Ferrand au moment de leur sortie. Puis je vais voir Le grand départ, un film de Nicolas Mercier dans lequel Antoine jour un petit rôle. C’est, je crois, son premier rôle au cinéma, un rôle d’infirmier peu important pour l’action mais il a l’air tellement content d’être là qu’il fait plaisir à voir.
Le soir, dans On n’est pas couchés, Fabrice Lucchini invité de l’émission et complètement allumé.

19618ème jour

Postures et Impostures

Aujourd’hui, pour la première fois de ma vie professionnelle, je me suis fait qualifier d’imposteur.
Ca ne s'oublie pas.

19617ème jour

Dijon Paris

Après une journée de réunions à Dijon, je rentre à Paris. Le TGV a deux heures de retard et je rate ainsi le récital d’orgue annuel de mon ami client, ce qui me chagrine d’autant plus qu’il avait inscrit comme début de programme l’un des concertos de Bach d’après Vivaldi.

19616ème jour

Paris Dijon

Paris Dijon en TGV. Dîner avec des collègues à la terrasse du B9, sans rapport avec la Neuvième Symphonie de Bruckner mais annexe sympathique du Pré aux clercs, qui n’a pas du tout le niveau culinaire de sa maison mère voisine, mais dont les additions sont beaucoup plus douces.

19615ème jour

Itinéraires

Dîner avec mon collègue madrilène à Itinéraires qui est de plus en plus mon restaurant préféré du moment.

19614ème jour

Retour au travail

Aujourd’hui est la grande journée de retour au travail. Le soir, Ethan, un grindrien qui travaille à France Musique, passe à la maison. Il recherche une relation durable mais est sans intérêt. En fin de soirée, je regarde le film Les enfants du marais, jamais vu jusque là, avec un Eric Cantona étonnant.

19613ème jour

Schönberg, Berg et Stravinsky par Sir Simon Rattle et les Berliner Philharmoniker à Pleyel

Ne voulant pas rééditer mon erreur de la veille, je refuse de vendre ma place au revendeur véreux et je trouve un acheteur pour ma seconde place. En discutant avec lui, j’apprends qu’il s’agit d’un collègue d’Alban Berg (mon ami, pas le compositeur pour ceux qui ne suivent pas). Début du concert avec Verklarte Nacht que j’entends pour la quatrième fois en concert avec l’orchestre Philharmonique de Berlin (deux fois Karajan et deux fois Rattle). J’ai trouvé l’interprétation de ce soir sublime, mais elle a été en partie gâchée par les problèmes d’un jeune homme apparemment autiste, au dernier rang de l’arrière scène qui soudainement, s'est mis à faire de grands mouvements du corps en se tapant les cuisses et en faisant des bruits un peu étrange. Certains musiciens se sont aperçu du problème, Rattle aussi, mais il a continué à diriger imperturbablement et le jeune homme a été évacué aussi discrètement que possible. J’ai peu profité des extraits de Wozzeck, Barbara Hannigan étant de dos pour moi, mais j’ai été subjugué par la beauté de l’orchestration qui m’a donné très envie de revoir cet opéra. Le concert s’achève par un Sacre en fusion (mon quatrième de cette année du centenaire) et le déchainement jouissif de tout l’orchestre.
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