Paris Milan
Le matin vers huit heures, j’embrasse Ambr*ise qui dort encore dans le lit, je lui laisse un peu d’argent pour sa journée et son taxi et je pars travailler. Je rentre à Paris par le vol de onze heures, Ambr*ise, par celui de 16h55 car il n’y avait plus de place disponible dans le mien. J’ai à la fois hâte de le revoir et tellement peur de m’attacher.