Les amours imaginaires
Comme mon vol est à 8h40, j’ai mis mon réveil à 6h30 et j’ai demandé un taxi à 7h00. Au milieu de la nuit, le téléphone de la chambre sonne. C’est la réception qui m’indique que mon taxi est arrivé. Il est déjà 7h10, j’ai tout simplement oublié de mette mon téléphone à l’heure grecque. Je ne prends pas de douche, je m’habille, je prépare ma valise et je pars. Il est 7h25. J’arrive à l’aéroport à temps et je me rase dans les toilettes.
Journée à Bruxelles.
Le soir je vais voir à côté de chez moi
Les Amours imaginaires dont c’est la sortie française. C’est un film attirant, bien dans l’air du temps, intelligent et bien réalisé. Je reste un peu sceptique sur le principe des interviews qui ponctuent le film et ont aussi pour fonction de donner la durée nécessaire à un scénario un peu léger mais la preuve en est faite. Xavier Dolan sera un grand cinéaste.
En sortant, je discute avec le type du guichet, très sympa. Il m’explique comment récupérer l’une des affiches du film, la grande mauve où figure Niels Schneider avec son incroyable sourire et ses cheveux bouclés. Il faut passer le mardi soir, la veille du jour où le film cessera de passer dans la salle.