Retour à Budapest
Nouveau lever à cinq heures pour attraper le premier vol pour Budapest où le temps est orageux, oscillant entre la grosse chaleur et les passages de quasi déluge.
Le soir, alors que nous dînons avec des collègues sur un bateau à touriste répondant au doux nom d’
Attila, le capitaine à l’allure d’un
Popeye hongrois (et donc moustachu) laisse la barre à un collègue qui laisse dériver le raffiot et
Attila fonce dans un autre navire de la même compagnie. Sous le choc, toute la vaisselle de la cuisine sort des étagères et s’effondre sur le sol dans un joli fracas qui me rappelle le film
Titanic.