Je n'aime toujours pas Penderecki
Ouverture du
Festival Présences de Radio-France, cette année largement consacré au compositeur polonais Krzysztof Penderecki. J'avais écouté quelques unes de ses oeuvres dans les années 80, quand l'orchestre de Paris l'invitait régulièrement. Mon opininon n'a guère changé pour se Shostakovich sans talent : oeuvres sans idées directrices, orchestrations attendues, morosité sans force. Le public, nombreux pour ce concert gratuit, applaudit mollement.
Lors du cocktail qui suit, nous croisons la tignasse rousse d'Elisabeth Chojnacka à qui je confesse que son disque
"le nouveau clavecin" m'a fait découvrir la musique contemporaine il y a plus de vingt ans et en particulier cette pièce sidérante de Ligeti
Hungarian Rock. Elle a l'air satisfaite et m'invite à cenir à son prochain concert parisien Poulenc avec l'orchestre Colonne en octobre.