Sylvain
Le soir, un peu avant dix neuf heures, mon voisin
grindrien Sylvain arrive chez moi. Il a des yeux immenses et un beau sourire. Le temps passant, je pense de plus en plus que les yeux et le sourire sont ce qui m’attire le plus chez un garçon. On boit un verre de champagne, on écoute un peu de musique, on se fait découvrir quelques musiques, moi
London Grammar, lui
Florence & the machine. On part dîner au
Piccolino où Franco nous accueille, toujours aussi gentil, et heureux de me montrer qu’il a enfin mis le
Zabaoine à sa carte. Assez vite, Sylvain ne se sent pas bien. Je le laisse prendre l’air dehors un moment, il vient quand même chez moi boire un peu de champagne mais rentre vite se reposer chez lui. Il me dira le lendemain avoir revomi tout le dîner à peine arrivé chez lui.