Dutilleux, Lutoslawski et Schumann par les Berliner Philharmoniker et Sir Simon Rattle Salle Pleyel
Déjeuner
chez Georges avec l’un de mes collègues de travail de mes débuts professionnels et que je n’ai jamais perdu de vue. Il me raconte son infarctus survenu quelques mois plus tôt.
Le soir, retour
salle Pleyel pour le second concert des
Berliner Philharmoniker. Comme la veille, Henri Dutilleux au programme, cette fois ci avec
Métaboles, une sorte de concerto pour orchestre, mieux que la veille mais pas vraiment passionnant. Suit le Concerto pour violoncelle de Lutoslawski par le très étonnant Miklós Perényi. L’œuvre est très surprenante et elle est le meilleur exemple illustrant l’origine du mot Concerto «
Concertare ». A de nombreuses reprises, le soliste et l’orchestre, parlent, se répondent et même s’affrontent. Sir Simon Rattle semble y trouver un immense plaisir. Mais si l’œuvre amuse, elle n’émeut jamais, comme c’est souvent le cas avec la musique contemporaine, ou l’art contemporain en général. Le programme s’achève avec la
Deuxième Symphonie de Schumann dont Rattle tire probablement le meilleur de ce que l’on peut en faire.
Discussion à l’entracte avec l’heureux
Paris Broadway qui part le lendemain à New York pour le Parsifal du
MET.
De chez moi, un dernier message pour Maxime qui me dit que son mec n’aime pas qu’il envoie des SMS mais qui passe néanmoins une bonne partie de son temps sur
grindr.