Milan Vienne Istanbul
Le matin, vers cinq heures, je prends un taxi et je récupère à son hôtel un ami de HLG qui rentre sur Paris alors que je pars sur Vienne à peu près à la même heure. Je n’ai que cent euros en liquide et la course du centre de Milan jusqu’à Malpensa dépasse cette somme pourtant convenable pour un trajet en taxi. Je paye donc en carte bancaire et, à l’intérieur de l’aéroport, alors que je veux prendre un café, je me rends compte que j’ai oublié mes cent euros en liquide sur la banquette du taxi. C’est comme cela qu’on apprend à faire plus attention. La leçon est cependant un peu chère.
Milan-Vienne
Longue marche dans les rues glaciales de Vienne.
Déjeuner à mon cher café
Griensteidl où un collègue me rejoint.
Réunion très désagréable avec un directeur des achats courroucé.
Mon client turc m’incite à rentrer à Paris, à ne pas aller à Istanbul où les intempéries rendent tout très difficile, mais rien ne saurait m’en empêcher. Je retourne donc à l’aéroport de Vienne où j’apprends que mon vol pour Istanbul a une heure de retard en raison de la neige qui recouvre Istanbul. Je me doute bien que le retard sera beaucoup plus long qu’annoncé et c’est à une heure du matin que nous atterrissons à
Ataturk sur une piste totalement gelée. Pour couronner le tout de ce voyage désagréable, nous devons progresser sur la neige gelée pour prendre un bus. Et pour une fois, le taxi qui m’emmène au
Hyatt roule plutôt lentement le long de la mer de Marmara.