Nuremberg
Cela fait un mois que je n’ai pas pris l’avion, sans doute un record depuis huit ans. Je prends le vol
Air France pour Francfort, je récupère une voiture de location et je parcours trois cent kilomètres jusqu’à Nuremberg où j’arrive en fin de matinée. Je passe la journée à ne pas faire grand-chose. A midi je vais déjeuner au
Heilig Geist Spital, où j’ai mes habitudes depuis une vingtaine d’années mais où je n’avais pas mis les pieds depuis
quatre ans. Les minuscules saucisses de Nuremberg sont un peu grasses, mais toujours aussi délicieuses.
A midi, j’ai voulu faire la surprise à
Philippe(s) de le récupérer à l’aéeoport de Nuremberg mais, bizarrement, alors que j’étais parfaitement à l’heure, je l’ai raté.