I dont want to set the world on fire
Le voyage de retour a été court et calme. J’étais upgradé en classe affaires et l’avion, au contraire du voyage aller, est passé très au sud de la route normale, évitant les îles britanniques où, parait-il, le nuage de cendres sévissait de nouveau. Pendant le vol j’ai vu
Lagerfeld Confidentiel, le film de Rodolphe Marconi consacré à cet étrange personnage. Scènes très amusantes où le voit en voiture de luxe, tapoter d’impatience avec ses doigts arborants les énormes bagues métalliques qu’il affectionne. Plaisir réel de réentendre pour la première fois sans doute depuis vingt cinq ans
I don’t want to set the world on fire qui avait marqué un été des années 80.
Dans l’après midi, j’ai tendance à somnoler au bureau et je m’endors très tôt.