Paris Rome
Hier soir, en rentrant d’Istanbul, je passe au guichet d’information Air France, un peu inquiet du statut de mon vol du lendemain en raison de la grève annoncée des contrôleurs aériens. La fille me répond qu’elle ne sait rien des vols du lendemain. Je demande à un autre stand d’information où un type me confirme qu’il ne sait rien et que cela dépend de la météo. Je lui dis que la météo est une chose, et la grève des contrôleurs aériens une autre, mais visiblement, il n’était même pas au courant. Alors que je rentre en voiture sur Paris, un collègue mieux informé me confirme que mon vol pour Rome est annulé et je passe m’empresse de le changer en appelant Air France.
Couché vers deux heures du matin et levant avant cinq heures, la nuit a donc été courte pour attraper le premier vol pour Rome, celui de sept heures, qui n’a eu qu’un léger retard lié au dégivrage de l’avion.
J’ai eu plaisir à retrouver Rome, après deux ans d’absence. Le soir, j’ai dégusté la meilleure mozarella de ma vie pendant un buffet dans le
Palazzo Ferrajoli.