Les pères siffleurs
Je retrouve Stefano près de la Madeleine et après s’être fait jeter de plusieurs restaurants (Paris deviendrait –elle encore plus étriquée qu’Amsterdam ?) nous nous rendons au
Persil-Fleur pour un dîner rapide. A lui aussi, je parle beaucoup de G. et des circonstances de notre rapide rupture, tout en ayant conscience d’être sans doute un peu fatigant ou obsessionnel avec cette histoire. Il me répond honnêtement, un peu brutalement aussi, comme le font
certains commentateurs qui croient tout savoir ou tout comprendre, en ne sachant pourtant que ce que je veux bien leur dire d’une relation complexe. Je préfère changer de sujet.
Je rentre chez moi en velib dans la nuit, ce qui est un bon moyen de se vider l’esprit.
certains commentateurs parlent aussi d'expérience... même si chaque histoire peut être unique
Jérôme | 09.11.09 @ 08:56 >