Istanbul
Ma fille m’a accompagné de bonne heure ce matin. Nous avons pris le ferry de
Besiktas par un temps de carte postale. Je me suis fait cirer les chaussures par un vieux cireur qui a apporté un soin méticuleux à sa tâche et m’a offert une paire de lacets en échange de mon généreux pourboire de deux livres turques. J’ai découvert nos nouveaux bureaux de la rive asiatique et ma fille a eu la lourde responsabilité de mettre à l’eau deux poissons rouges dans leur nouvel aquarium.
Après un étonnant meeting l’après midi avec une femme turque assez laide qui se prend pour une déesse et qui était entourée de sa cour aréopage, après deux heures au bord de la piscine de l’hôtel, après une agréable marche jusqu’à
Nisantasi et
Besiktas, nous avons dîné avec un client à la terrasse du
Vogue à la vue éblouissante surtout en ce soir de Juillet. Le premier pont sur le Bosphore a nouvel éclairage qui accentue encore la magie de la vue.