En attendant Godot
Vu pour la première fois
En attendant Godot au théâtre de l’Athénée avec deux de mes filles. J’ai vraiment adoré cette pièce, son côté mi-Obaldia mi Prévert. La grande tirade de Lucky qui pense est en particulier un moment d’absurdité merveilleuse que j’adorerais relire à tête reposée. Et puis j’ai également beaucoup aimé la scène où l’étrange Pozzo prend Estragon et Vladimir sous ses deux bras et alors qu’il va leur faire une confidence, demande soudain :
- Mais lequel de vous deux pue à ce point ?
- C’est lui, répond Estragon. De la bouche. (silence)
Moi c’est des pieds…