Le Louvre
Nous profitons du froid et de la pluie pour visiter quelques galeries du Louvre. Mon troupeau de filles et de correspondantes américaines ne paye rien pour cause de jeunesse et moi je m’acquitte de neuf euros et surtout d’une longue file d’attente. Les américaines, une fois la
Joconde vue en compagnie d’une centaine de badauds, ne s’intéressent plus à rien, alors j’entraîne ma plus jeune fille vers ce que je préfère : les Chardin, les Latour, les Corot, les Canaletto et Guardi et puis le
jeune homme devant la mer de Flandrin qui ne cesse de m’émouvoir.