Le concert du London Symphony Orchestra et de Bernard Haitink Salle Pleyel
Immense bonheur que de retrouver le LSO, dans un programme presque identique à celui que j’ai raté deux jours plus tôt. La 25ème symphonie de Mozart est dirigée par Bernard Haitink de façon simple et magistrale, on a l’impression d’entendre tout simplement une évidence. Suit un
Don Juan d’anthologie, clair, précis, plein d’entrain et de vie et où les pupitres du LSO s’en donnent à cœur joie. Mais le clou du concert était le
Heldenleben. Comme avec la
Symphonie Alpestre il y a quelques semaines, Bernard Haitink sait faire sortir de cette partition un peu inégale le meilleur de ce que l’on peut obtenir. Et je me souviendrai longtemps de la musique si lyrique qui conclut l’œuvre et qui m’a conduit au bord des larmes.
Petite promenade dans Paris avec un blogueur au voyages musicaux, pour aller chercher des chemises commandées par Internet et le déposer chez lui.