24009ème jour
Un cheval et un aspirateur
24008ème jour
24007ème jour
24006ème jour
24005ème jour
24004ème jour
Comment se faire mal au poignet (honorablement)
24003ème jour
24002ème jour
24001ème jour
24000ème jour
La Neuvième Symphonie de Mahler par les Berliner Philharmoniker
23999ème jour
23998ème jour
Ein deutsches Requiem
Aperçu Gidon Kremer avenue George V. Je m'approche de lui et lui dis tout simplement un
Welcome to Paris qui déclenche un grand sourire de sa part.
Passage au Consulat des Philippines à Paris pour faire certifier des documents administratifs. Le consulat est installé dans une jolie villa d'une cour arborée du XVIeme arrondissement pr_s de la rue du Ranelagh. Le personnel entièrement philippin est constituée de femmes en anorak qui semblent frigorifiées alors qu'il fait très chaud dehors mais que la climatisation fonctionne à plein régime.
Passage à l'agende
Fedex de l'opéra pour récupérer un courrier qui finalement ne s'y trouve pas.
Course poursuite dans le RER avec Paris Broadway qui se rend comme moi à la Philharmonie de Paris mais a toujours un train d'avance sur moi.
Le concert de ce soir fait partie des Prem's cousines parisiennes des Proms, avec un parterre de spectateurs debout étonnamment jeunes, silencieux et concentrés, offrant à la Philharmonie une jauge inédite.
Au programme du soir, la peu jouée Symphonie Reformation de Mendelssohn et Ein deutsches Requiem un peu poussif, en raison de la direction molle d'Andris Nelsons et d'un chœur dont il est peut être un peu présomptueux de lui demander un tel programme de rentrée.
23997ème jour
Bâle Strasbourg Paris
Train de 6h20 pour Strasbourg pour une courte correspondance.
TGV de 7h49 pour Paris où je peux enfin accrocher mon tableau.
Soirée chez l'une de mes filles.
23996ème jour
La Cinquième Symphonie de Mahler par l'Orchestre du Concertgebouw et Klaus Mäkelä
Long voyage de Salzbourg à Lucerne, avec une halte de quelques minutes à Zurich, accompagné du tableau qui me suit depuis Vienne.
Je dépose mon bagage à la consigne de la gare de Lucerne, déjeune chez
Bodu et me rend au
KKL pour le concert de l'orchestre du
Concertgebouw en tournée avec leur futur chef Klaus Mäkelä. Comme la semaine passée, le concert comprend l'insipide
Rendering de Berio d'après un menuet de Schubert, puis l'extraordinaire
Cinquième Symphonie de Mahler à laquelle j'assiste depuis l'arrière scène où j'ai tant de souvenir avec les
Berliner Philharmoniker.
je récupère ma valise et le tableau à la consigne et fais un petit tronçon de mon retour en train à Paris.
Nuit à Bâle dans un hôtel médiocre proche de la gare.
23995ème jour
La Neuvième Symphonie de Mahler par les Berliner Philharmoniker
Déjeuner tardif à la
Gasthof de la
Goldgasse.
En fin d'après midi je vais à la
Hauptbahhof pour récupérer
Paris Broadway qui arrive en provenance de Munich et nous marchons ensemble jusqu'au
Festspielhaus.
Quel bonheur que d'entendre en quelques jours la trilogie des orchestres mondiaux: Amsterdam, Vienne et Berlin.
Ce soir, les berlinois en tournée nous donnent la
Neuvième Symphonie de Mahler, déjà entendue en mai à Amsterdam. Petrenko nous en offre une lecture identique dont je me souviens surtout des premières mesures d'une douceur infinie, d'un
Scherzo enflammé et d'une fin moins crépusculaire que celle d'Abbado avec en prime et énorme éternuement qui a détruit la beauté de la fin.
Je rentre à l'hôtel alors que
Paris Broadway retrouve sa limousine pour l'hôtel de l'aéroport de Munich.
Laurent repart
23994ème jour
La Neuvième Symphonie de Bruckner par les Wiener Philharmoniker
A onze heures, je retourne au
Festspielhaus pour le concert des
Wiener Philharmoniker. Franz Welser-Möst, qui les dirige, semble rétabli de son cancer qui l'a tenu éloigné des scènes mondiales ces derniers mois. Le concert délarre par la symphonie pour cordes de Weinberg, compositeur que d'habitude j'aime beaucoup et dont l'œuvre me laisse cette fois ci un peu sur la faim. En deuxième partie, la
Neuvième Symphonie de Bruckner dans une interprétation hyper classique pour ne pas dire un peu routinière.
Déjeuner chez
Meissl & Schadn.
Je passe l'après midi à l'hôtel à compléter ces pages pour lesquelles j'avais pris un retard conséquent.
23993ème jour
Macbeth
Lever à cinq heures pour attraper le vol Air France pour Munich.
Train de l'aéroport pour la
Hauptbahnof où au lien de prendre le Munich Salzbourg de la
ÖBB, je prends celui d'une compagnie privée. La contrôleuse, très compréhensive, me laisse descendre à Rosenheim où je retrouve mon train
ÖBB original.
A Salzbourg, je récupère mon tableau qui m'attendait depuis la semaine passée. Le mec de l'accueil, jeune garçon autrichien me fait un compliment sur mon parfum, ce qui me trouble un peu.
Déjeuner au
Meissl & Schadn qui devient ma cantine à Salzbourg.
Macbeth
23992ème jour
Paris
Déjeuner avec
Paris Broadway chez
Benoit, à l'origine parce qu'
American Express proposait vingt pour cent de réduction, à condition d'atteindre le montant de 200€. Finalement nous n'avons pas atteint le montant objectif, même si nous avons envisagé plusieurs stratégies pour y parvenir, mais nous nous sommes régalés.
Passage à la
fnac pour acheter
Kolkhoze, le nouveau roman d'Emmanuel Carrère et le coffret complet des opéras de Wolfgang Sawallisch avec le texte du livret de l'ami Rémy.
23991ème jour
Le jeu d'échecs de Paul Wunderlich
Il y a une dizaine d'années, j'avais effectué un voyage professionnel à Zurich et, conne j'étais resté pour le week-end, en me promenant dans les rues de la vieille ville, j'avais aperçu dans la vitrine d'une galerie, un jeu d'échecs absolument extraordinaire: des pièces en bronze dans le style de Dali et une table en marqueterie. Séduit par l'objet, j'avais appelé la galerie depuis Paris mais le prix m'avait découragé de l'acquérir.
Quelques années plus tard, alors que je vidais mon appartement de la rue de Madrid pour déménager en Asie, j'avais retrouvé la carte de la galerie et je les avais contactés depuis Hong Kong pour savoir s'il leur en restait un exemplaire. Comme c'était le cas, j'avas commandé le jeu et on me l'avait livré par avion dans deux caisses en bois, ne immense pour la table et une petite pour les pièces. Pendant mes années à Hong Kong, tous les jours, j'avais bonheur à admirer la vue sur la baie de Hong Kong depuis mon quarantième étage et à regarder mon jeu d'échecs sur lequel j'ai fait quelques parties avec Jakub, moi à Hong Kong et lui à Berlin.
Le jeu est rentré à Paris quelques semaines après moi, par bateau et j'ai remplacé les deux petits tabourets chinois qui l'accompagnaient par deux fauteuils viennois.
En juin dernier j'ai emporté les pièces à Dubai, afin de les avoir près de moi et la table s'est retrouvée orpheline à Paris. Aussi, quelle n'a pa été ma joie de voir qu'un autre jeu était l'objet d'une vente aux enchères à Barcelone. Personne n'a surenchéri et je l'ai remporté.
En fin de matinée, le jeu a été livré, avec une table très modeste que je n'utiliserai pas. C'est un peu un caprice mais j'ai découvert que j'éprouvais beaucoup de plaisir à avoir des objets communs dans les deux villes où j'habite, même si je suis peu à Paris.
Déjeuner avec ma sœur à l'
Escudella.
Bureau et passage à la
fnac où je découvre que Conan Doyle a fait son entrée dans la collection de
La Pleiade.
23990ème jour
Paris
Je passe au bureau mais en cette fin août, il n'y a personne.
J'accueille pour la soirée ma sœur qui fait une escale à Paris entre l'Auvergne et la Bretagne.
23989ème jour
Nuremberg Munich Paris
Nuremberg Munich.
Déjeuner sur le trottoir à la
Weinhaus Neumer.
Passage chez
Ludwig Beck où je m'étonne moi même de ne pas acheter de CD, mais où les culottes de peau me font penser à Emil.
Munich Paris.
Heureux de me retrouver chez moi à Paris.
23988ème jour
Parsifal au Festival de Bayreuth
Déjeuner traditionnel de saucisses à
Trodelstuben, un restaurant assez banal de Nuremberg en bordure de la
Pegnitz.
Route pour Bayreuth.
En arrivant près du
Festspielhaus je m'inquiète soudain pour ma clef d'hôtel. En effet j'ai effectué deux réservations différentes pour les deux nuits et j'ai oublié de faire changer ma clef magnétique ce matin. Je parviens finalement à joindre l'hôtel au deuxième entracte de
Parsifal et on me donne une procédure compliquée qui doit normalement me permettre de récupérer la nouvelle clef.
Ce
Parsifal est célèbre pour proposer un spectacle en pseudo "réalité augmentée", mais celle-ci n'était disponible que pour les spectateurs des derniers rangs. Belle distribution avec Michael Volle, Tobias Kehrer, Georg Zeppenfel, Andreas Schager et Elīna Garanča mais j'ai surtout apprécié la direction du jeune chef espagnol Pablo Heras-Casado.
J'achète à l'entracte l'un des tee shirts très Bayreuth avec en lettres blanches sur fond noir "
Wahn! Wahn! Überall Wahn!" extrait des
Maîtres-Chanteurs.
Retour à Nuremberg pour la nuit.
23987ème jour
Le premier acte de la Walkyrie par les Wiener Philharmoniker
Retour de Vienne Salzburg de très bonne heure. Je retrouve la voiture à la gare et me rends immédiatement au
Festspielhaus pour le concert de matinée des
Wiener Philharmoniker dirigés par Yannick Nezet-Seguin qui les retrouvera en fin d'année pour le concert du Nouvel An 2026. Au programme d'aujourd'hui, le prélude de
Lohengrin, la
Siegfried Idyll t le premier acte de la
Walkyrie chanté par Elza van den Heever, Stanislas de Barbeyrac et John Relyea. A la fin du concert, quelques rangs derrière moi, le mari de Yannick Nezet-Seguin, un peu endimanché est debout et applaudit à tout rompre.
Contrairement à l'aller, je choisis de prendre l'autoroute pour retourner en Bavière et m'arrête pour la nuit dans un hôtel prétendument romantique de la banlieue de Nuremberg.
23986ème jour
Salzbourg Vienne
Je laisse la voiture à la gare de Salzbourg et je prends le train pour Vienne. C'est plutôt agréable, pas trop long et la vue est belle. Pour faciliter la venue d'Emil, j'ai choisi un hôtel dans l'arrondissement de Döbling, là où il habite et, c'est amusant, c'est également le quartier où habitaient les parents d'Alma, la
Hohe Warte. Me voilà parti en promenade dans les rues ensoleillées, depuis Döbling jusqu'à Heiligenstadt pour un déjeuner à
Pfarwitt. Puis, après un petit pèlerinage à la
Hohe Warte, je prends un bus jusqu'au
Prater car Emil m'a recommandé une boutique où l'on peut trouver du
poppers, même si officiellement il est vendu comme étant un nettoyant pour cuir...
Après mes emplettes, je passe chez Ulises, où je récupère le tableau viennois qui va effectuer un long trajet en train avec moi: Vienne Salzbourg Lucerne Bâle Strasbourg Paris, tout ceci en une semaine....
Je rentre à l'hôtel, passe un peu de temps à mettre à jour ces pages pour lesquelles j'avais beaucoup de retard. Emil qui devait me rejoindre au milieu de la nuit, passe finalement vers vingt et une heures et c'est une bonne nouvelle. Il arrive directement de l'événement où il travaillait, en tenue autrichienne -chemise à carreaux roses et culotte de peau- ce qui va très bien avec ses cheveux dorés un peu longs. Il semble avoir autant de plaisir à me revoir que j'en éprouve moi même. Nos corps semblent eux aussi heureux de retrouver leurs repères et nous expérimentons même quelques nouveautés. Puis nous restons pendant une bonne heure allongés nus l'un contre l'autre à nous parler un peu de nos vies. Je l'avais complètement oublié mais son frère est gay lui aussi et, même si ses parents sont très tolérants il est inquiet à l'idée de devoir le leur annoncer.
Il repart dans la nuit et j'en suis un peu triste.
23985ème jour
La Cinquième Symphonie de Mahler par l'Orchestre du Concertgebouw et Klaus Mäkelä
J'avais une halte à Ratisbonne il y a quelques années, déjà à l'occasion de la proximité de Bayreuth. Le nom de Ratisbonne, ou plutôt de Regensburg m'a toujours été familier puis que celle ville est jumelée avec Clermont-Ferrand où j'ai passé toute mon enfance et le nom de Regensburg est inscrit sur tous les panneaux d'entrée dans la capitale auvergnate.
Ratisbonne est une ville plutôt charmante, suffisamment grande pour bénéficier d'un joli centre ville, mais trop petite pour avoir été rasée par les bombardements alliés de la seconde guerre mondiale.
J'ai pris un
Negroni près du
Dom et j'ai déjeuné chez
Ontra, un restaurant de la périphérie de la ville.
Je dois également confesser qu'en prévision de ma rencontre prochaine avec Emil, j'ai visité un
sexshop dont la tenancière, aux allures d'ancienne actrice de film X, m'a gentiment indiqué que les
Poppers n'étaient pas en vente libre en Allemagne.
Route de Ratisbonne à Salzbourg sous la pluie et donc bien capoté.
Je dépose ma valise à l'hôtel et fais une exception à mon régime en prenant une
Rindsuppe et un
Salzburger Nockerln à la
Brasserie Stern.
A une heure tardive pour Salzbourg (21 heures), les musiciens de l'Orchestre du
Concertgebouw et leur chef Klaus Mäkelä entrent sur la scène du
Festspielhaus. Au programme, une œuvre peu usitée de Luciano Berio,
Rendering, d'après un Menuet de Schubert et que je me suis forcé à écouter plusieurs fois sur la route, sans arriver à me convaincre qu'elle méritait beaucoup d'attention. En seconde partie une prodigieuse
Cinquième Symphonie de Mahler avec une énergie incroyable, un bonheur évident des musiciens à faire de la musique avec leur jeune chef, un
Adagietto parfait de moins de dix minutes et un
Choral final que même Alma aurait aimé.
Sachant qu'il convient d'être sur la liste pour aller en coulisses, je ne suis pas allé saluer Klaus.
23984ème jour
Götterdämmerung au Festival de Bayreuth
Trajet Munich Nuremberg en fin de matinée et déjeuner chez
Wonka un restaurant de Nuremberg dont le serveur est français.
Nuremberg Bayreuth. Depuis quelques semaines, tous les collègues à qui j'annonce que je vais à Bayreuth me demandent ce que je vais faire au Liban.
Belle représentation de
Götterdämmerung d'un point de vue vocal et orchestral, en particulier le Siegfried de Vogt et la Brunnhilde de Catherine Foster qui m'était jusque là inconnue.
Le gros problème de cette représentation était la mise en scène, horrible et incompréhensible du début à la fin, le pompon étant la scène finale où le Rhin est symbolisé par une piscine crade et à moitié rouillée. Ca fait rêver...
J'arrive vers minuit à mon petit hôtel de montagne où, soit disant, la clef m'attend dans une boîte avec le code 777. Le code ne fonctionne pas et le numéro de téléphone de secours ne répond pas. Alors que je m'apprêtais à partir pour trouver un nouvel hôtel, j'ai l'idée de regarder dans le tiroir où la clef aurait du chuter et je constate que deux clefs s'y trouvent. J'en prends une au hasard, vérifie prudemment que la chambre n'est pas occupée et y passe la nuit.
23983ème jour
Dubai Munich
Vol
Emirates Dubai Munich avec de nombreux enfants braillards.
Alors que je vais récupérer ma voiture de location chez
Sixt, le type de l'agence me propose une
Porsche à la place de la petite
Volkswagen décapotable que j'avais réservée. Je suis tenté mais décline l'offre au vu de son prix prohibitif.
Nuit dans la banlieue de Munich.
23982ème jour
Retour au Bar des Près
Déjeuner avec un partenaire et concurrent égyptien au
Bar des prés de DIFC, toujours aussi bien. Nous parlons beaucoup d'éclipses et formons le projet d'aller observer celle de 2027 à Louxor qui sera l'une des plus longues du siècle (plus de sept minutes).
23981ème jour
Aie
Alors que je nettoie le couteau à pain acheté la veille, je ne prends pas garde au fait qu'il est neuf et m'entame méchamment le pouce droit.
Saignement abondant.
Depuis quelques semaines, sans vraiment savoir pourquoi,
facebook me pousse de nombreuses informations sur les missions Appolo des années 1969-1972. Les images sont souvent stupéfiantes de beauté mais le plus étonnant est la masse de commentaires d'abrutis finis qui continuent d'être persuadés que l'homme n'est jamais allé sur la lune et que tout cela est une supercherie "
shot by Stanley Kubrick in a Hollywood basement". Je plains sincèrement ces gens non pas de leur croyances absurdes mais plutôt d'imaginer leur conviction comme quoi des milliers de personnes puissantes parviennent à leur faire gober n'importe quoi.
Emporté par mon intérêt du moment sur le sujet, je regarde successivement un documentaire
Netflix passionnant sur la mission
Appolo XI et le film de fiction très réussi
Appolo XIII dans lequel le chef de mission Jim Lovell, mort la semaine passée, joue un petit rôle.
23980ème jour
Des couteaux, deux plateaux, un balai et des pamplemousses
En ce samedi je vais au
Mall of the Emirates pour faire quelques courses: des pamplemousses pour le petit déjeuner, un joli plateau à fromage en damiers, un balai digne de ce nom pour nettoyer le balcon de la poussière du désert et un ensemble de couteaux.
Déjeuner chez
Eugène Eugène, toujours aussi bien.
Je reçois chez moi Jorge, le collègue espagnol pour une coupe de champagne.
23979ème jour
Un restaurant espagnol sans Jamon
Sur les conseils de mes collègues espagnols, je déjeune au restaurant
Asador de Arabda, la filiale dubaïote d'une chaîne qui compte une dizaine d'adresses en Espagne. Moi qui adore je jambon espagnol, je suis surpris que le restaurant ne propose que du jambon de bœuf. Le serveur m'explique que les Emirats sont un pays musulman et je le remercie pour cette précieuse information mais lui fais remarquer que l'on trouve du vrai jambon de porc dans certains supermarchés, dans uns piève spéciale pour les non musulmans. Je comprends alors que les restaurants quiveulent proposer du vrai jambon doivent avoir une licence spéciale.
Je ne pense pas que je reviendrai.
Commencé à regarder une autre série anglaise
Coldcase assez agréable.