Les taxis athéniens
Il est parfois difficile de trouver un taxi à Athènes. Aux heures de pointe ou dès qu'il pleut, celà peut même s'avérer impossible. Ce matin, vers 8h30, l'accueil de l'hôtel nous annonce au bout d'un quart d'heure qu'ils ne parviennent pas à trouver de taxi. Nous décidons donc de partir dans la rue en direction du métro dans l'espoir d'en trouver un sur la route. Il passe en effet de nombreux taxis, souvent occupés mais pas toujours. Il ne daignent même pas jeter un oeil aux clients potentiels. Nous continusons de marcher. Nous arrivons à la place
Karaiskaki. Mon collègue entre dans un garage et indique qu'il offre cinquante euros si quelqu'un accepte de nous emmener chez le client. Ils refusent. J'aborde une dame dans la rue qui monte dans sa voiture et lui fais la même offre. Elle accepte mais son téléphone sonne et elle nous fait signe qu'elle doi répondre avant de aprtir avec nous. Au même moment, un taxi libre passe par miracle et nous emmène. Nous sommes arrivés cinq minutes en retard, ce qui à Athènes, est presque en avance.