Cinq concerts en 48 heures
Donc vendredi soir, nous inaugurions le week-end avec la
Huitième d'Inbal. Le lendemain à 16 heures, Daniel Barenboim dirigeait le Chicago Symphony Orchestra à la Philharmonie dans le
Troisième concerto de Bartok et la
Neuvième Symphonie de Mahler. Puis nous avons couru au
Deutsche Oper pour une représentation de la
Fanciulla del West de Puccini, opéra plutôt sans intérêt, il faut bien le reconnaître. Dimanche matin, c'était l'événement de la semaine avec la
Deuxième de Mahler dirigée par Pierre Boulez à Philharmonie à l'occasion de ses 80 ans, concert sur lequel je reviendrai demain. Nous avons poussé le vice jusqu'à aller au concert de 18h30 au
Staatsoper où Boulez et Barenboim se partageaient la direction d'un programme dédié à Boulez compositeur :
Anthèmes 2,
Sur Incises et
Notations I-IV & VII.
De quoi friser l'indigestion.
Rediffusion sur Arte dimanche soir de la Deuxième Symphonie. Comment ne pas penser en même temps à ces pages noires, et comment ne pas s'étonner devant le visage de Pierre Boulez qu'il ait 80 ans?
Alice | 28.03.05 @ 17:34 >