Fermez la parenthèse
Depuis que A. est rentré à Londres, nos contacts se sont pas à la hauteur de notre rencontre. Je l'ai appelé plusieurs fois par jour au départ, à un moment où il déprimait de se retrouver là bas. Puis je lui ai envoyé
ce mail destiné à mieux comprendre ce qu'il avait en tête. Je n'ai jamais eu de réponse. Il m'a seulement indiqué qu'il n'avait pas eu le temps de lire son courrier. Les contacts se sont espacés. Il est alors devenu difficile à joindre. Un jour il faisait du shopping, le suivant il était dans un club privé où il est interdit de téléphoner. Hier soir il dormait déjà, en dépit du décalage horaire. Je lui ai donc indiqué que, dans la mesure où j'avais l'impression de compter aussi peu dans sa vie, il était préférable d'en rester là. Il a paru plus vexé que peiné. Fin.
Ce paquet de trois mails dit magnifiquement la présence désolée de tes amis.
Merci de ne pas avoir effacé la trace du premier commentaire.
Alice -
email| 18.02.05 @ 17:49 >