The whitest boy alive
Revente chez
Gibert d’une trentaine de disques symphoniques de Claudio Abbado (Symphonies de Haydn, Beethoven, Schubert, Mendelssohn, Brahms, Bruckner et Mahler qui vont toutes être prochainement rééditées dans un coffret moins gourmand en volume, à l’occasion des 80 ans du Maestro.
Déjeuner avec ma fille ainée dans un petit restaurant du 18ème arrondissement.
Passage à la
fnac des Halles où j’écoute par hasard le disque d’un groupe très cool qui s’appelle
The whitest boy alive. Comme je m’énerve après le caissier, qui veut me refaire faire la queue, je le plante avec son CD à reclasser et je pars.
Je retrouve G. dans le Marais et nous allons boire un thé au
Loir dans la théière où je n’avais pas mis les pieds depuis des années. Notre relation est définitivement pacifiée. Il me raconte (ce que je savais déjà) qu’il a un jour reçu sur le crâne le poisson de bronze que je lui avais offert à mon retour de Venise, le lendemain de la mort de Michael Jackson.
Le soir, je m’endors devant l’émission de Ruquier je passe une bonne partie de la nuit devant la télévision allumée.