Ambr*ise XVIII
Passé presqu'une journée à lire
Corbeaux, le
journal de Renaud Camus de l'année 2000, consultable en ligne et consacré essentiellement à ce qu'on avait appelé à l'époque l'
affaire Camus. Personnage attirant et irritant à la fois, obsessionnel et égocentrique et qui, à la lecture de la description pointilleuse de ses journées, semble être un fêtu de paille vite emporté par des événements qui le dépassent.
En fin d’après midi, Ambr*ise passe chez moi accompagné de son chien que j'étais impatient de voir depuis longtemps. C’est un cocker noir et c’est aussi le plus gentil chien du monde.
Redbull pour Ambr*ise,
Lapsang souchong pour moi, joint pour nous deux et de l’eau fraiche pour le cocker. On écoute
Lighthouse Family et je dépose l'étui du CD sur l’accoudoir du canapé, au sommet de la haute pile de musique que Ambr*ise a prévu de recopier dans son
iTunes.
Ambr*ise et son chien repartent dans la nuit et je trouve qu’ils vont très bien ensemble.
Ça alors, quelle drôle d'idée maintenant. Il y a quelques temps je t'aurais plutôt conseillé "Vaisseaux brûlés", mais il est maintenant payant.
Egocentrique, oui. Maladivement. Incapable de faire un pas de côté pour adopter un point de vue hors de lui-même . Dommage.
Feuillette un tome des "Demeures" à l'occasion, ça pourrait piquer ta curiosité (les grandes étendues du Nord de l'Europe. Ou alors l'Italie, le dernier paru).
Alice | 10.12.12 @ 11:26 >