Azouz
Journée de réunions dans un hôtel de Zurich. Retour à Paris. Je passe chez moi le temps de prendre une douche et de découvrir mon cahier
Annonay déposé par le facteur devant ma porte. Je repars aussitôt pour retrouver Azouz devant chez
Maxim’s. Il a un affreux piercing au nez, genre anneau de museau de vache (cela me rappelle la boîte de l'addition du
Mariott de la veille) et avec son chapeau marron et une sorte de cape, il a vraiment une allure improbable. On part en voiture le long des quais et, comme la fois précédente, on dîne au café
Beaubourg et je le dépose à l’
Etincelle. Je rentre chez moi dormir et en plein milieu de la nuit, vers cinq heures, je ne sais plus très bien, Azouz me rappelle, il a envie de me voir. Je m’empresse d’accepter et je prends une douche en l’attendant. Il me rappelle peu après, le taxi l’a déposé près de Saint Augustin, il doit être un peu saoul et il ne parvient plus à retrouver ma rue. Je vais à sa rencontre en étant en ligne avec lui et je l’aperçois en bas de la rue Portalis avec son chapeau mais, fort heureusement, sans le piercing.
On arrive chez moi, on boit du champagne et bien sûr, on fume un joint. On s’embrasse, on se touche on se suce et tout excités, on file dans ma chambre, on se resuce et on s’embrasse dans tous les sens et partout où ca fait du bien, je constate qu’il adore se faire doigter pendant que je le suce ou pendant qu’il me suce, il me demande de le prendre, ce que je fais. On s’endort l’un contre l’autre pour un court intervalle de nuit.