Venise
Le matin j’ai pris le train qui, pour un euro et cinquante centimes, emmène les heureux passagers de la gare de Mestre à celle de Venise. Un saut de
vaporetto jusqu’au
Rialto et je dépose ma valise à mon hôtel, un petit Palais rouge qui borde le grand canal.
Il pleut, mais je pars cependant déjeuner dans
Dorsoduro.
Do Farai est fermé car nous sommes dimanche et je me console donc à mon restaurant de poisson de
Lungha San Barnabe. Je passe le reste de l’après-midi à l’hôtel où j’assiste à l’annonce bien prévisible des résultats de l’élection présidentielle.