Gerardo
Journée sans grand charme de réunions à Milan. Le soir, après un passage à la boutique
Abercrombie (rien acheté) et chez
Ricordi (rien acheté non plus) je discute avec un
grindrien qui passe me voir à mon hôtel un peu après deux heures du matin. Il s’appelle Gerardo, il est péruvien et beaucoup moins bien que sur ses photos mais je n’ai pas le courage de le renvoyer. On s’embrasse, il me suce, il prend tellement de poppers qu’il ne se sent pas très bien et qu’il repart sans qu’on ait fait grand-chose. Je m’endors épuisé.