Vincent
Après avoir récupéré mon lecteur CD réparé, je me rends vers 23h30 gare de l’Est pour récupérer Vincent, le
Grindrien strasbourgeois. Je le trouve gonflé d’avoir accepté ce week-end en Sicile alors qu’il ne sait pas grand-chose de moi. Il a un beau sourire, une carrure de boxeur et un grand sac Adidas noir en bandoulière. On traverse Paris décapoté dans la nuit et on dort ensemble très sagement pour une courte nuit avant le grand départ vers l’inconnu.