Soirée sans
Dîner dans un restaurant minable d’un hôtel de l’avenue de Villiers, près de la place Pereire. Alors que la serveuse me sert mon café, je lui demande un décaféïné et tous mes collègues font de même, sauf l’un d’entre eux qui préfère un thé. "
Mais j’ai déjà préparé dix cafés!" rale la serveuse. "
C’est dommage, réponds-je,
mais ce sont des décaféinés que nous voulons..." Elle part en maugréant et revient avec une dizaine de
Nescafés immondes.
L’un des convives propose d’aller boire un verre au bar du
Concorde Lafayette. N’ayant aucune envie de retrouver cet endroit minable, je m’esquive et rentre chez moi dans la nuit froide en velib.