La vingt et unième
Alors que je lis
Nickel Chrome de Hervé Claude à la terrasse du café Beaubourg, G. me rejoint. C’est la première fois que nous y prenons un repas ensemble. Il y a pourtant lui aussi ses habitudes et serre la main du garçon qui le reconnaît. Nous marchons dans le Marais, visitons quelques boutiques. Je lui montre le petit jardin
Francs-Bourgeois Rosiers que j’ai découvert le week-end précédent. Je le raccompagne en bas de chez lui et je regarde longtemps sa silhouette élégante qui s’éloigne dans la rue des Lions Saint Paul, jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans l’embrasure de la porte.
Le soir, tard, il m’informe qu’il restera encore un peu chez son ex alors que celui-ci rentre le lendemain matin. Je sur réagis et nous nous quittons sur une froideur mutuelle.
[22:47] G.
Tu es donc uniquement adorable avec moi dans la mesure où tu penses que quelque chose est possible.