Chronique d'une erreur annoncée
Déjeuner avec deux collègues au
Petit Riche, rue Le Peletier, où je n’étais pas allé depuis des années et qui est un endroit toujours aussi agréable. Le rendez vous qui suivait s’étant achevé vers seize heures, je suis rentré chez moi en
velib. Pédaler dans Paris en costume trois pièces me donne un sentiment proche de celui qui doit envahir les garçons de café lors de leur course annuelle.
Le soir j’appelle deux fois un brésilien fraichement arrivé à Barcelone et je commets ce qui sera probablement une grosse erreur. Je lui offre un billet d’avion Barcelone-Venise de façon à passer en sa compagnie le séjour de la semaine prochaine.