Topo
Comme à l'habitude je stresse à l'idée de parler devant cent personnes, cette fois-ci des banquiers roumains. Je déteste parler derrière un pupitre, préférant être libre de mes mouvements et de mes gestes. Je commence par me moquer de mon accent français, d'autant plus que je passe juste derrière un britannique aux allures de sénateur. Dès que je démarre, je n'ai plus peur. Je me souviens de mon premier oral en anglais, voilà bien longtemps. Je réponds à une question. Next!