Rempli
Lever à Istanbul à 5h40, 4h40 heure de Shengen. Pas de petit déjeuner. Je vais directement payer l'hôtel. La fille de la réception m'annonce que toute l'informatique est en panne. Elle me fait mon compte à la main, m'indique que l'hôtel m'est redevablede 240 livres turques (150€) et me les file aussitôt en liquide. Je m'étonne d'avoir été autant débité à mon arrivée, mais je suis trop fatigué pour réfléchir. Et puis je ne refuse jamais quand on me donne du liquide. C'est un principe. Je file dans un taksi. Malheureusement, l'un des taksis de l'hôtel.
A mi chemin de l'aéroport, mon chauffeur reçoit un appel sur son téléphone. "
It's for you" me dit-il en me tendant le gsm. C'est l'hôtel. Ils viennent de comprendre qu'ils ne m'ont compté qu'une nuit au lieu de deux, et me demandent de rendre le fric au chauffeur. Penaud, je m'exécute.
Passage à l'aéroport Ataturk bondé. Longues files d'attente au premier contrôle, à l'enregistrement, au contrôle des passeports, puis à la salle d'embarquement.
Vol calme. mon voisin ronfle terriblement avec des moment d'apné dont il sort ar un borborygme étange.
Arrivée à Milan Malpensa. Magnifique soleil. Je dois guider le chauffeur de taxi pour se rendre à Baranzate.
L'après-midi, réunion de six heures de suite chez le client. A un moment, les deux clients se mettent à s'engueuler tellement fort en italien, que j'appelle Michael pour lui faire écouter la scène en live.
Le soir je dîne dans ma petite cantine près de la Porta Venezia.
longue journée.
J'ai gardé dans mon répondeur, on pourrait le mettre en ligne ça multimédiatiserait ton blog.
Michael | 05.05.05 @ 01:07 >